En métal nous pouvons citer le carillon, ou glockenspiel, joué dans les fanfares et plus récemment dans l’orchestre classique, comme c’est le cas pour le xylophone. Plus grand de taille, le vibraphone, qui acquis une grande renommée grâce aux jazzmen américains qui lui donnèrent un rôle d’instrument soliste.

 

Ce vibraphone est doté de microphones-capteurs piezoélectriques qui permettent de capter le son précisément pour pouvoir ensuite le modifier, traiter, de manière électrique ou électronique. Une phrase est enregistrée dans une pédale de boucle et le son naturel du vibraphone est ensuite distordu électriquement.

 

Le caractère rituel qui peut se dégager des résonances des lames de carillon est mis en évidence par le mélange réalisé avec le sacré des bols tibétains, le minéral des pots en terre, et les sons de la peau du tambour bodhran.