Les grandes lames de bois jouées sont un balafon camerounais prêté par Brice Wassy. Ces lames sont entreposées sur des mousses ou du bois souple pour que les lames puissent garder leur liberté de résonance. L’on peut retrouver ces instruments dans le Ndanzi – Danse du Prince du Cameroun par exemple.

 

Le caractère rituel qui peut se dégager des résonances des lames de carillon est mis en évidence par le mélange réalisé avec le sacré des bols tibétains, le minéral des pots en terre, et les sons de la peau du tambour bodhran.

Les quatre pots en terre, de par les fréquences qui les caractérisent, permettent de recréer un clavier de percussions et font ainsi un lien entre le son inharmonique du tambour et l’échelle harmonique du carillon.